mercredi 26 novembre 2008

Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
34 rue rené dunan
06150 CANNES LA BOCCA
TEL : 06 62 75 73 47
FAX : 09 56 09 40 26
Monsieur VERDI Patrice Cannes la Bocca le 19/10/08
A

Maître KARIM ACHOUI

· 10 Bd RASPAIL 75007 PARIS
TEL : 01 49 54 00 54
FAX : 01 49 54 00 55
Courriel : k.achoui@wanadoo.fr;
Maître ACHOUI,

J’ai l’honneur de vous écrire car j’ai assisté avec certains de mes amis à la détermination et au courage d’un homme de loi face à la machine administrative et judiciaire qui semble avoir déraillée une fois de plus dans l’affaire FERRARA pour des raisons politiques qui tiennent à focaliser l’information sur le fait que vous osiez défendre des voyous alors que certains de vos confrères se fourvoient régulièrement pour des hommes de pouvoir alors que des réseaux de pédophilie tenus par des criminels existent réellement et sont couverts par des magistrats, des politiques et parfois même d’autres fonctionnaires d’état.
Fonctionnaire de Police Municipale depuis 1993, marié, deux enfants, j’ai informatisé le service et j’ai publié mon premier essai philosophique intitulé « Le Serment D’hypocrite » aux éditions livres et images en 1997, en 2001alors que j’avais mis en place des réseaux d’influence afin de soutenir la candidature de Monsieur Bernard BROCHAND avec le soutien avisé et indispensable de Madame Louise Moreau Députée-Maire UDF contre son poulain Gilles CIMA, en diffusant principalement l’information par le biais d’un site internet dont l’URL était : NONPREVU.COM, j’ai participé à la victoire municipale et législative de Monsieur BROCHAND.
Eté 2001, je suis l’auteur d’un rapport de problème potentiel de pédophilie sur un individu qui prétend être un ami du Maire, je transmets la procédure au commissariat central de CANNES et demande à ce que le témoin fasse l’objet d’une audition car les faits déclarés sont d’une gravité extrême et mettent en cause des notables de la ville, de plus le témoin des faits, une jeune fille d’origine magrhébine, qui fait partie des orphelins d’auteuil se sent véritablement menacée.
Suite à ce rapport, j’ai rencontré deux personnes âgées particulièrement sympathiques qui ont fait l’éloge de la Police Cannoise et des institutions de la République et je les ai crues car ma culture privilégie l’écoute et le respect des anciens comme mes parents me l’ont transmise et l’ont acquise des leurs de l’autre coté de la méditerranée, en Tunisie dont ils sont natifs ; Les RACA m’ont demandé par la suite d’effectuer une enquête sur le petit ami de leur fille Fabienne en filant le couple à PARIS contre 3000€ , elles m’ont également demandé d’interroger le STIC en me donnant les coordonnées du petit ami en question, le dénommé Patrick BEYNES.
Je rentre de PARIS, je demande gracieusement à un ami Claude BENITA d’interroger le STIC et bingo le fameux petit ami a effectivement un casier, alors comment ces deux personnes auraient elles pu le deviner et comment ont elles eues les coordonnées complètes du fiancé, dans tous les cas, pour moi c’est l’arrestation, mon avocat me dit que ce n’est rien car mon dossier est vide, aucune plainte pour le STIC et il est affirmatif, dans deux heures je serai dehors, j’ai fait 44 jours de détention au QHS de DRAGUIGNAN avec deux autres détenus qui avaient perdu leur appétit de vivre et de manger alors que j’ai pris cinq kilos de plus, je n’ai jamais pu obtenir de confrontation avec les plaignants, ni au CC car ils avaient quitté la ville la veille, ni devant le magistrat instructeur, ni au TGI de GRASSE et encore moins à AIX ; j’ai tout de suite compris le lien évident qui existait avec mon rapport de pédophilie, je l’ai dit au juge instructeur Mme MAUGENDRE et c’est alors que mon propre défenseur Maître VALIERGUE a signé une injonction thérapeutique pour tenter de me faire interner sans toutefois y arriver car le Pr ROURE, expert psychiatre auprès de la cour d’appel d’AIX, m’a déclaré sain d’esprit et a ajouté furieusement et non pas curieusement : « c’est une affaire politique ! ».
Malgré la décision du 15 mai 2002 du TA de NICE concernant ma présomption d’innocence, je n’ai plus jamais travaillé, le Maire de CANNES a émis plus de cinq années de fausses fiches de paye, ensuite pour ma condamnation à AIX, j’ai bénéficié de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple car je pense que le président avait totalement cerné le problème mais quand j’ai parlé de pédophilie mon nouvel avocat a précisé que j’assumais seul mes déclarations puis ne m’a plus défendu en se taisant tout simplement devant les mensonges réitérés du ministère public et d’un témoin que je n’avais jamais vu ni entendu de ma vie.
Le maire a tout de même émis un arrêté de radiation le 10/11/06, j’ai formulé une requête en annulation pour ce dernier auprès du TA de NICE car il existe une violation de mes droits à la défense en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui précise la durée nécessaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incriminé dans la procédure disciplinaire et la mise en place de cette commission.
Ce délai est fixé à 15 jours au minimum or l’arrêté émis par Monsieur le Député Maire de CANNES le 12 Octobre 2006 précise que la lettre d’information en LR + AR envoyé par Monsieur Claude MORIN, adjoint au Député Maire de CANNES et délégué au personnel date du 14 Septembre 2006 et la réunion ainsi que la décision de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre 2006, il y a donc une violation manifeste du délai minimum de quinze jours des droits de la défense en vertu du décret précité.
Je suis donc dans l’attente d’une décision du président de la quatrième chambre du TA de NICE devant un vice de forme incontournable et je demande 450 000 € de dommages et intérêts à la ville de CANNES que je justifie dans mon mémoire en défense car je suis harcelé moralement et financièrement depuis des années, et que je dénonce par le dépôt de plaintes pour discriminations sociales, harcèlement moral et coalition de fonctionnaires engagées auprès des autorités judiciaires de tutelle et diffusées à l’ensemble des parlementaires des groupes d’opposition Français et Européens mais aussi vers tous les TGI et Préfecture de France afin de pérenniser d’autant plus l’effet publicitaire qui convient si bien à Monsieur le Député Maire de CANNES.
Je tiens toutefois à vous faire part du fait que tout peut arriver quand on s’attaque au dictat des frères BROCHAND et de leurs réseaux qui ont déplacé des préfets, muté des fonctionnaires de Police, et organisé la pompe à fric de l’UMP qui semble admettre la pédophilie comme une pratique normale car non seulement le témoin de mon rapport a été menacé, les rapports de police semblent avoir disparu mais en plus notre excellent procureur DOUMAS est devenu procureur général en raison de ses qualités professionnelles majeures en matière de classement vertical.
Fin de la partie pénale, afin de pérenniser toute forme de résistance au fascisme institutionnalisé qui pourrait se terminer en bavure policière ou en suicide maquillé pour ma personne ou ma famille.
Le CPI ou Code de la Propriété intellectuelle : Affaire d’argent et d’état !
En effet, en 1997, j’ai proposé un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES, il m’a fait signer un contrat d’édition avec 10% de droits d’auteur puis m’a affirmé qu’il devait le faire enregistrer chez un notaire avant de me le rendre.
Ensuite, plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation.
Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était aussi son éditeur.
J’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente sur la FNAC, CHAPITRE, AMAZON, etc… avec le même éditeur et N°ISBN de départ et cela depuis 08/1998, j’ai également découvert certaines informations sur l’une de ses sociétés que je vous transmets en pièce jointe.
J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon œuvre, LEPORC serait défendu par Maître VALIERGUE selon Michèle MERCIER et tiendrait d’après des amis placés, une sorte d’officine barbouzarde pour la piscine (DGSE), ce qui m’éclaire un peu mieux sur ce qui m’est arrivé.
J’espère premièrement que votre honneur sera restauré le 28 Novembre prochain pour le principe mais aussi afin de pouvoir compter éventuellement sur votre assistance juridique car je combats seul et le lien actuellement virtuel qui nous lie est la contestation d’un système fasciste qui supprime toute notion d’individualité au profit d’un collectif d’actionnaires invisibles mais particulièrement nuisibles actuellement, ainsi si vous acceptez de m’assister dans cette expérience profondément humaine devant le TA de NICE, nous pourrons alors user de votre notoriété ainsi que de l’article 761-1 du code de la justice administrative afin que vous décidiez du montant que vous tenez à percevoir par l’Etat pour vos talents de ténor incontestable du barreau devant un vice de forme incontestable qui va simplifier la procédure et nous permettra d’engager par la suite si vous le désirez , la procédure contre LEPORC pour violation du CPI.
Je vous prie de croire Maître ACHOUI, en l’expression de ma plus haute considération concernant la règlement rapide de nos injustices respectives qui obstruent provisoirement les portes d’une ascension sociale programmée mais certainement pas achevée ni pour vous, ni pour moi.

Cordialement, VERDI P

EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM
PJ : 3

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