mercredi 26 août 2009

Lettre de Soutien à Marcel VERVLOESEM

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Objet : : LUTTE CONTRE LA PEDOCRIMINALITE ET SES RESEAUX POLITIQUES

DESTINATAIRE :

Monsieur Marcel VERVLOESEM
Lettre de soutien
Envers un collègue Policier
Détenu Arbitrairement
par le Pouvoir Politique BELGE.

EXPEDITEUR :
Patrice VERDI
B/C de Police Municipale
MATRICULE N° : 096632 06400 CANNES

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
à
Monsieur Marcel VERVLOESEM
C/O : GEVANGENIS TURNHOUT WEZENSTRAAT, 1
2300 TURNHOUT BELGIQUE

Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

PEDOPHILIE A CANNES : TAPEZ L'URL SUIVANTE :

http://droitfondamental.eu/

Lettre de Soutien à Marcel VERVLOESEM

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Objet : : LUTTE CONTRE LA PEDOCRIMINALITE ET SES RESEAUX POLITIQUES

DESTINATAIRE :

Monsieur Marcel VERVLOESEM
Lettre de soutien
Envers un collègue Policier
Détenu Arbitrairement
par le Pouvoir Politique BELGE.

EXPEDITEUR :
Patrice VERDI
B/C de Police Municipale
MATRICULE N° : 096632 06400 CANNES

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
à
Monsieur Marcel VERVLOESEM
C/O : GEVANGENIS TURNHOUT WEZENSTRAAT, 1
2300 TURNHOUT BELGIQUE

Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

PEDOPHILIE A CANNES : TAPEZ L'URL SUIVANTE :

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Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
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Monsieur Marcel VERVLOESEM
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Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

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Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
à
Monsieur Marcel VERVLOESEM
C/O : GEVANGENIS TURNHOUT WEZENSTRAAT, 1
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Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

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Monsieur Marcel VERVLOESEM
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Patrice VERDI
B/C de Police Municipale
MATRICULE N° : 096632 06400 CANNES

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
à
Monsieur Marcel VERVLOESEM
C/O : GEVANGENIS TURNHOUT WEZENSTRAAT, 1
2300 TURNHOUT BELGIQUE

Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

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mardi 18 août 2009

AUGMENTEZ VOS REVENUS : CLIQUEZ SUR L'UN DES BILLETS ET DECOUVREZ COMMENT.....





Monsieur VERDI Patrice Cannes

le 13/07/09

au

Docteur Concetto MONCADA
24 Bd astegiano 2 Eme Etage – B205
Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

Docteur MONCADA,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.

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Monsieur VERDI Patrice Cannes

le 13/07/09

au

Docteur Concetto MONCADA
24 Bd astegiano 2 Eme Etage – B205
Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

Docteur MONCADA,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.

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Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

Docteur MONCADA,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

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J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.

PROCUREUR - TGI GRASSE - HARCELEMENT SOCIAL

Monsieur VERDI Patrice

Cannes le 10/08/09

à

Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

37 av Pierre Sémard BP71029 06130 GRASSE Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.
J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de mes cotisations à la CNRACL depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service.

La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

VERDI P

PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

Copie Arrêté Portant Avancement au septième Echelon à l’ancienneté maximum reçu le 22/05/03 par la SP de GRASSE.

PROCUREUR - TGI GRASSE - HARCELEMENT SOCIAL

Monsieur VERDI Patrice

Cannes le 10/08/09

à

Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

37 av Pierre Sémard BP71029 06130 GRASSE Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.
J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de mes cotisations à la CNRACL depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service.

La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

VERDI P

PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

Copie Arrêté Portant Avancement au septième Echelon à l’ancienneté maximum reçu le 22/05/03 par la SP de GRASSE.

PROCUREUR - TGI GRASSE - HARCELEMENT SOCIAL

Monsieur VERDI Patrice

Cannes le 10/08/09

à

Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

37 av Pierre Sémard BP71029 06130 GRASSE Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.
J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de mes cotisations à la CNRACL depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service.

La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

VERDI P

PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

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Monsieur VERDI Patrice

Cannes le 10/08/09

à

Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

37 av Pierre Sémard BP71029 06130 GRASSE Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.
J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de mes cotisations à la CNRACL depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service.

La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

VERDI P

PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

Copie Arrêté Portant Avancement au septième Echelon à l’ancienneté maximum reçu le 22/05/03 par la SP de GRASSE.

CPAM - HARCELEMENT - SERVICE MEDICAL

Monsieur VERDI Patrice Cannes

le 13/07/09

au

Docteur Concetto MONCADA
24 Bd astegiano 2 Eme Etage – B205
Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

Docteur MONCADA,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.

dimanche 16 août 2009

UNCAM - CNAMTS - DECISION POLITIQUE PREETABLIE

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 14/08/09
à
Monsieur le Directeur
CNAMTS-UNCAM
50 av Prof André Lemierre
75986 PARIS CEDEX
Tel : 01 72 60 10 00 Fax : 01 72 60 10 10

Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.
PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche

Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer

Child Trade Zandvoort Sectes Justice Prison Logement ID service Who'sWho Index


Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer
†15 novembre 1998 †
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint le Werkgroep Morkhoven, à l'occassion de la découverte du réseau Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené l'association, au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un "film snuff", où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar "Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui "rataient" chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé "Faits divers" de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru "hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources", avait-elle dit au journal "De Morgen".
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- "Avec ce que j'ai découvert", dit-elle, "soit la Belgique explose, soit je suis assassinée".
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Les membres du Werkgroep Morkhoven, qui admiraient Gina Pardaens-Bernaer, furent brisés par ce meurtre, qui aurait pu être évité si la police avait rempli son devoir. Le Mémorial de Zandvoort, à l'occasion du dixième anniversaire de la découverte du réseau sera aussi fait en son honneur.
Adieu Gina, on ne t'oubliera jamais...

UNCAM - CNAMTS - DECISION POLITIQUE PREETABLIE

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 14/08/09
à
Monsieur le Directeur
CNAMTS-UNCAM
50 av Prof André Lemierre
75986 PARIS CEDEX
Tel : 01 72 60 10 00 Fax : 01 72 60 10 10

Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.
PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche

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Monsieur VERDI Patrice Cannes le 14/08/09
à
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Tel : 01 72 60 10 00 Fax : 01 72 60 10 10

Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

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Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

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Monsieur VERDI Patrice Cannes le 14/08/09
à
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Tel : 01 72 60 10 00 Fax : 01 72 60 10 10

Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.
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Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer

Child Trade Zandvoort Sectes Justice Prison Logement ID service Who'sWho Index


Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer
†15 novembre 1998 †
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint le Werkgroep Morkhoven, à l'occassion de la découverte du réseau Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené l'association, au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un "film snuff", où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar "Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui "rataient" chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé "Faits divers" de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru "hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources", avait-elle dit au journal "De Morgen".
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- "Avec ce que j'ai découvert", dit-elle, "soit la Belgique explose, soit je suis assassinée".
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Les membres du Werkgroep Morkhoven, qui admiraient Gina Pardaens-Bernaer, furent brisés par ce meurtre, qui aurait pu être évité si la police avait rempli son devoir. Le Mémorial de Zandvoort, à l'occasion du dixième anniversaire de la découverte du réseau sera aussi fait en son honneur.
Adieu Gina, on ne t'oubliera jamais...

Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer

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Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer
†15 novembre 1998 †
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint le Werkgroep Morkhoven, à l'occassion de la découverte du réseau Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené l'association, au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un "film snuff", où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar "Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui "rataient" chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé "Faits divers" de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru "hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources", avait-elle dit au journal "De Morgen".
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- "Avec ce que j'ai découvert", dit-elle, "soit la Belgique explose, soit je suis assassinée".
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Les membres du Werkgroep Morkhoven, qui admiraient Gina Pardaens-Bernaer, furent brisés par ce meurtre, qui aurait pu être évité si la police avait rempli son devoir. Le Mémorial de Zandvoort, à l'occasion du dixième anniversaire de la découverte du réseau sera aussi fait en son honneur.
Adieu Gina, on ne t'oubliera jamais...